Critique Manga I am a Hero #3
7
I am a Hero
par ivan isaak le ven. 15 juin 2012 Staff
Après un début assez longuet, I am a hero semblait prendre son envol dans le second volume paru. Ce troisième confirme en partie cette impression, malgré quelques incohérences gênantes et un nouveau passage discutable...
Le chaos semble s'emparer du monde de I am a hero et Hideo est en plein milieu de celui-ci. La longue fuite de notre personnage principal, que ce soit via le métro ou via le taxi qu'il prend, est ce qui est le plus réussi dans ce volume. Une certaine peur, une panique s'empare de tout le monde et même l'armée américaine est débordée... On entre donc totalement dans le style survivor horror que l'on attendait, avec toujours ce côté spécial de notre héros donnant au titre une réelle originalité.
Mais voilà, ce côté spécial a également quelques défauts, comme ce long, trop long passage en forêt. Plus condensé, plus court, il aurait pu être pertinent. Mais ici, sa longueur en fait une lourdeur et n'améliore pas le récit. Dommage, une nouvelle fois.
Le second point gênant, mais qui pourrait être éclairci par la suite, concerne le "temps d'incubation" du "virus". Très variable (et c'est peu de le dire), il parait difficilement crédible. Son seul avantage : il implique une suspicion constante sur les nouveaux personnages, qui peuvent tous être potentiellement contaminés. Mais ce "trou" dans le scénario laisse une impression étrange, d'autant que le laps de temps s'écoulant entre la "contamination" et la "transformation" semble étrangement être ajusté pour coller au récit...
Prolongeant la plongée dans le chaos de son univers, Kengo Hanazawa réussit à retenir l'attention de ses lecteurs malgré quelques points noirs. La lecture d'I am a hero reste malgré tout très agréable et recommandable, même si le titre aura du mal à plaire à tout le monde. A suivre...
Le chaos semble s'emparer du monde de I am a hero et Hideo est en plein milieu de celui-ci. La longue fuite de notre personnage principal, que ce soit via le métro ou via le taxi qu'il prend, est ce qui est le plus réussi dans ce volume. Une certaine peur, une panique s'empare de tout le monde et même l'armée américaine est débordée... On entre donc totalement dans le style survivor horror que l'on attendait, avec toujours ce côté spécial de notre héros donnant au titre une réelle originalité.
Mais voilà, ce côté spécial a également quelques défauts, comme ce long, trop long passage en forêt. Plus condensé, plus court, il aurait pu être pertinent. Mais ici, sa longueur en fait une lourdeur et n'améliore pas le récit. Dommage, une nouvelle fois.
Le second point gênant, mais qui pourrait être éclairci par la suite, concerne le "temps d'incubation" du "virus". Très variable (et c'est peu de le dire), il parait difficilement crédible. Son seul avantage : il implique une suspicion constante sur les nouveaux personnages, qui peuvent tous être potentiellement contaminés. Mais ce "trou" dans le scénario laisse une impression étrange, d'autant que le laps de temps s'écoulant entre la "contamination" et la "transformation" semble étrangement être ajusté pour coller au récit...
Prolongeant la plongée dans le chaos de son univers, Kengo Hanazawa réussit à retenir l'attention de ses lecteurs malgré quelques points noirs. La lecture d'I am a hero reste malgré tout très agréable et recommandable, même si le titre aura du mal à plaire à tout le monde. A suivre...
En bref
7
I am a Hero
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