Critique Manhwa The Breaker - New Waves #5

En phase de guérison

Résumé : C’est de plus en plus compliqué physiquement pour Shinwoo de tenir le coup. Après avoir survécu à un nouvel assaut des S.U.C., il entame un traitement pour retrouver son danjeon. Affaibli, il retourne malgré tout au lycée, l’occasion rêvée pour les S.U.C. de tenter une nouvelle fois de se débarrasser de lui. Mais Shinwoo et Séra ont élaboré un plan avec des murims alliés. Une nouvelle bataille débute au sein même du lycée Guryong !

Qu’est-ce que j’aime cette série. De gros pavés qui se lisent avec un plaisir immense à chaque fois. Ce tome 5 démarre à toute allure avec un super combat, puis nous donne quelques clés supplémentaires pour comprendre ce bel univers assez complexe finalement pour enfin commencer un nouvel arc au sein de lycée. Une vraie réussite.

On se demande à chaque fois comment Shinwoo va s’en sortir, il fait preuve d’une volonté exceptionnelle, prêt à tout pour sauver ce qu’il aime. Il endosse à merveille son rôle de chef et devient de plus en plus crédible aux yeux de tous ceux qui le croisent. Une vraie montée en puissance dans ce tome 5.

J’ai beaucoup aimé le développement du scénario autour d’une troisième entité dont on avait très peu entendu parlé. Après l’alliance du Murim et le S.U.C, place aux guerriers de l’ombre avec le retour de la princesse Soseol, quel chapitre, petit mais très intense. Je me demande bien où tout ça va nous mener.

Pendant ce temps-là, les membres des S.U.C nous montrent leur commandant, on découvre la talentueuse Lady aux 1000 visages, qui comme son nom l’indique, maitrise l’art de la métamorphose. Mais celui qui m’a le plus impressionné, c’est bel et bien Lone Wolf, il dégage une puissance et une aura exceptionnelles.

Entre le développement de l’intrigue et les combats hyper intenses, c’est à chaque tome un immense plaisir que de découvrir cette œuvre. Que ce soit les nouveaux personnages, le retour au lycée, l’attaque du S.U.C ou encore la découverte des guerriers de l’ombre, ce tome 5 frôle la perfection. On ne s’ennuie pas une seule seconde, les 400 pages se dévorent à toute allure, un régal.

"C'est quoi le problème de ce gamin ? J'ai l'impression de mater une vidéo en avance rapide..."