Critique Manga Nanairo Inko
6
Nanairo Inko
par Jo Pae le lun. 25 mai 1970
Nanairo Inko
L'ara aux sept couleurs, alias Yosuké Kuwagata, fils d'un très riche président de société automobile, fugue de chez lui alors qu'il n' est encore qu'un adolescent pour se consacrer à sa seule passion : le théatre. Virtuose en imitation et travestissement, il l'est aussi pour dérober les riches spectateurs qui assistent à ses représentations...
Pas le plus prestigieux Tezuka mais un manga interressant avec un "relant de Black Jack":
Beaucoup penseront qu'il s'agit d'un décalque de Black Jack dans le monde du théâtre. S'il y a véritablement des similitudes entre les deux personnages, cela ne gâche pas pour autant le plaisir. En effet, les différentes aventures du Ara sont rondement menées. Il n'y a pas de temps mort et en plus, ça donne envie de lire (ou de voir) les pièces dont parle Tezuka que l'on ne connaît pas. Si le premier volume était surtout un tome d'exposition, on sent le changement de ton dès le second. Tezuka s'en donne à coeur joie dans le côté barré : grimaces à outrance, personnages hauts en couleur (dont l'introduction d'un chien aussi habile dans l'art du déguisement que l'Ara mais en plus...gay ^^), situations rocambolesques... Que du bonheur !
Niveau dessin faut aimer le style vieillot de Tezuka mais c'est trés eeficace et les visages sont trés expressif.
Jo Pae Approved!
jo pae - 15 ans - dbooky18@aol.com
L'ara aux sept couleurs, alias Yosuké Kuwagata, fils d'un très riche président de société automobile, fugue de chez lui alors qu'il n' est encore qu'un adolescent pour se consacrer à sa seule passion : le théatre. Virtuose en imitation et travestissement, il l'est aussi pour dérober les riches spectateurs qui assistent à ses représentations...
Pas le plus prestigieux Tezuka mais un manga interressant avec un "relant de Black Jack":
Beaucoup penseront qu'il s'agit d'un décalque de Black Jack dans le monde du théâtre. S'il y a véritablement des similitudes entre les deux personnages, cela ne gâche pas pour autant le plaisir. En effet, les différentes aventures du Ara sont rondement menées. Il n'y a pas de temps mort et en plus, ça donne envie de lire (ou de voir) les pièces dont parle Tezuka que l'on ne connaît pas. Si le premier volume était surtout un tome d'exposition, on sent le changement de ton dès le second. Tezuka s'en donne à coeur joie dans le côté barré : grimaces à outrance, personnages hauts en couleur (dont l'introduction d'un chien aussi habile dans l'art du déguisement que l'Ara mais en plus...gay ^^), situations rocambolesques... Que du bonheur !
Niveau dessin faut aimer le style vieillot de Tezuka mais c'est trés eeficace et les visages sont trés expressif.
Jo Pae Approved!
jo pae - 15 ans - dbooky18@aol.com
En bref
6
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