Critique Manga One Piece #49
8
One Piece
par ivan isaak le dim. 16 août 2009 Staff
La chasse aux ombres se poursuit dans ce 49ème volume de One Piece. Alors que Luffy poursuit Moria, les autres membres de l’équipage sont aux prises avec Odz.
Suite donc de l’arc Thriller Bark. Une nouvelle fois, les évènements de ce volume sont éparpillés un peu partout. Entre Nami en train dépouser Absalom, Pérona qui transfert tous les trésors de Moria dans le Thousand Sunny, Luffy perdu dans la forêt lors de sa poursuite de Moria et les autres membres de l’équipage qui affrontent le géant Odz, on ne sait plus où donner de la tête. Les rebondissements s’enchainent et certains évènements auront sans aucun doute des répercussions dans le futur (notamment l’arrivée impromptue d’un personnage loin d’être anodin).
Une nouvelle fois, Oda fait preuve de beaucoup d’imagination et d’humour dans ce volume. Même si toutes les scènes humoristiques ne font pas mouches, certaines sont vraiment hilarantes (l’attitude de Robin lors de la formation du « robot de combat »). Par contre, l’utilisation d’énormes ficelles dans son scénario est toujours un peu dommageable (compte-à-rebours). Tout comme certaines planches beaucoup trop chargées à mon goût et qui nuisent parfois à la lecture. De plus, cet arc est une nouvelle fois trop long. Oda a des idées, beaucoup d’idées, qui sont en plus souvent très bonnes, mais on a parfois l’impression qu’il en a trop. L’arc Thriller Bark aurait beaucoup gagné à être fini dans ce tome, voire dans le précédent.
Après 49 tomes, One Piece ne lasse toujours pas. Malgré quelques défauts, le travail d’Oda reste remarquable. Le prochain volume devrait voir la fin de cet arc et être un tome de transition. Et quand on connait la qualité des tomes de transition de One Piece, on ne peut qu’être impatient de le lire…
Suite donc de l’arc Thriller Bark. Une nouvelle fois, les évènements de ce volume sont éparpillés un peu partout. Entre Nami en train dépouser Absalom, Pérona qui transfert tous les trésors de Moria dans le Thousand Sunny, Luffy perdu dans la forêt lors de sa poursuite de Moria et les autres membres de l’équipage qui affrontent le géant Odz, on ne sait plus où donner de la tête. Les rebondissements s’enchainent et certains évènements auront sans aucun doute des répercussions dans le futur (notamment l’arrivée impromptue d’un personnage loin d’être anodin).
Une nouvelle fois, Oda fait preuve de beaucoup d’imagination et d’humour dans ce volume. Même si toutes les scènes humoristiques ne font pas mouches, certaines sont vraiment hilarantes (l’attitude de Robin lors de la formation du « robot de combat »). Par contre, l’utilisation d’énormes ficelles dans son scénario est toujours un peu dommageable (compte-à-rebours). Tout comme certaines planches beaucoup trop chargées à mon goût et qui nuisent parfois à la lecture. De plus, cet arc est une nouvelle fois trop long. Oda a des idées, beaucoup d’idées, qui sont en plus souvent très bonnes, mais on a parfois l’impression qu’il en a trop. L’arc Thriller Bark aurait beaucoup gagné à être fini dans ce tome, voire dans le précédent.
Après 49 tomes, One Piece ne lasse toujours pas. Malgré quelques défauts, le travail d’Oda reste remarquable. Le prochain volume devrait voir la fin de cet arc et être un tome de transition. Et quand on connait la qualité des tomes de transition de One Piece, on ne peut qu’être impatient de le lire…
En bref
8
One Piece
Partagez votre avis en écrivant une critique !
Vous connaissez cette oeuvre ? Donnez votre avis et partagez ainsi votre expérience avec les visiteurs de Manga Sanctuary !
Donner mon avisAcheter One Piece 49 simple
Dernières critiques
par Tampopo24 le jeu. 25 avril 2024
par juju le jeu. 25 avril 2024
par Tampopo24 le jeu. 25 avril 2024
par juju le mer. 24 avril 2024
par juju le mer. 24 avril 2024
par Tampopo24 le mar. 23 avril 2024
par Tampopo24 le mar. 23 avril 2024
Actualité
le ven. 26 avril 2024
le ven. 26 avril 2024
le jeu. 25 avril 2024
le jeu. 25 avril 2024
le jeu. 25 avril 2024
le mer. 24 avril 2024
le lun. 22 avril 2024
Commentaires sur cette critique (0)
Laissez un commentaire