Chronique : GE Good Ending T.16

Charlie One nous parle du dernier tome de la série !

Lors du traditionnel stage d’été du club de tennis, Kurokawa quitte soudainement sa chambre en pleine nuit.
Utsumi la cherche désespérément.
En étant confronté à la possibilité de perdre Kurokawa, il se rend compte qu’il l’aime toujours…
Quelle épreuve attend Utsumi et Kurokawa ?

Comment écrire la critique du dernier tome d’un manga aussi addictif que GE Good Ending ? Pas la moindre idée. Je propose donc une liste. Une liste qui énumère les raisons qui font que ce 16e tome est une fin réussie :

1. La force héroïque d’Utsumi. Quand il s’agit de venir en aide à l’élue de son cœur, Seiji a toujours dégagé une intensité impressionnante. Telle qu’on ne peut s’empêcher de l’encourager dans chacun de ses efforts. Et c’est encore ici le cas, lors de son ultime confrontation avec Tôru ou face au père de la jeune fille qui incarne son dernier obstacle avant de pouvoir enfin laisser son amour s'épanouir.

2.Le baiser. Et (3.) la fugue finale. Si l’on ne devait conserver que quelques pages, ce serait sans aucun doute celles-là. Le bonheur à l’état pur. Et des dessins emplis des sentiments qui se sont développés 16 volumes durant. Kei Sasuga est un maitre dans le domaine !

4. Le papa d’Utsumi. Une courte apparition qui a toute son importance. Malgré une apparence qui relève du ressort comique, on ne fera pas meilleur complice. Lui, qui accepte de couvrir son fils quand celui-ci décide de tout laisser de côté pour Kurokawa. Il est génial le papa d’Utsumi.

5. La bande au complet. Que serait GE Good Ending sans les amis loyaux de notre héros ? Tous au rendez-vous pour ces derniers moments, ces personnages secondaires auront été, jusqu’au bout, une grande force de la série.

6. Le dernier chapitre. 10 ans ont passé. Nos lycéens ont grandi, muri, accompli leur rêves. Un « good ending » comme on les aime, qui fait chaud au cœur et qui répond à la fameuse question du « que sont-ils devenus ? ». Les voir se remémorer le passé nous amène nous aussi à nous souvenir des nombreuses péripéties qui ont ponctuées leur évolution. Un chapitre qui donne l’envie de se replonger dans le tome 1 et de recommencer.

7. L’épilogue. Et (8.) la dernière case surtout. Une petite dizaine de pages pour un dernier au revoir, comme si l’auteur n’arrivait pas à se défaire de ses personnages. Et on la comprend. Les aventures de Yuki, Seiji, Sho & cie se terminent sur une note nostalgique pleine de justesse. 

Charlie One

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