Critique Manga Red Hood

Si vous chercher une histoire d'amour subtile et des scènes érotiques réalistes, passez votre chemin.
Si vous mettez votre cerveau de côté et êtes prêtes à apprécier une histoire fantasy où le héros parvient à récupérer les pouvoirs magiques d'autres créatures en en absorbant leurs fluides corporels, bienvenue !

Red Hood est une libre réinterprétation yaoi du Petit Chaperon Rouge.
Celui qui porte une capuche rouge, c'est Goldirocks, dit Golda. Jeune mage au fessier avantageux, il projette des pétales de fleurs lorsqu'il jette un sortc'est lui qui s'approprie les pouvoirs de ceux dont il boit la salive ou le sang. Ou... (suivez mon regard...) Le sperme.
Je vous avais prévenues, pour la subtilité.

Flanqué d'une démone-mouche à forte poitrine et d'une fée aux allures d'Amérindienne de carnaval, il doit tuer une sorcière qui enlève des fillettes.
Dans la forêt il rencontre Fenrir, jeune homme-loup. Sous sa forme humaine, il porte des oreilles et une queue de loup kawai. Entre autres capacités magiques très utiles au combat, il se transforme à volonté en loup géant bipède et monstrueusement membré.

Pas besoin de vous faire un dessin de ce qui se passe ensuite, ceux de HAJI sont suffisamment explicites.

Le tout mélange un humour parfois naïf parfois salace, des scènes très explicites, une intrigue au second plan derrière une romance sans suspens,et une ambiance fantasy à la Crimson Spell ou Koori no mamono no Monogatari.

Un bon petit yaoi en forme de plaisir coupable, que j'aime autant feuilleter que critiquer.