Critique Manga Yume no Q-Saku

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Yume no Q-Saku

par Meno le lun. 25 mai 1970

Toute contente que j'étais de découvrir Maruo, je commençais par 'La jeune fille au camélias' et continuais presque imédiatement sur Yume no Q-Saku...
Peu être aurais-je dû me renseigner à l'avance, je le savais juste né de la main de Maruo, cela suffisait. L'indication 'pour lecteurs avertis' a pris tout son sens au moment de la lecture. Allez y! Ouvrez au hasard cet ouvrage et comptempler les gerbes de sang et les corps impudique, mais surtout, ne vous arrêtez pas à ça.
La première nouvelle est séduisante, nous caresse dans le sens du poil, pas de sang, pas de nu, juste un petit garçon à l'allure d'écolier, les couleurs séduisent, le trait fin et précis flâte le regard...
Mais il faut se préparer à une belle descente aux enfers, nécrophilie, zoophilie, sadisme, sado masochisme, inceste, du sang et toujours plus de sang.
Et pourtant, oui pourtant, l'esprit se laisse emporter sur la vague de chaque petite histoire malsaine, le lecteur deviend victime de son voyeurisme, tenir ces pages de son propre gré est presque dérangeant.
Encore une fois, je souligne ce minuscule 'pour lecteurs avertis'

En bref

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Yume no Q-Saku
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