Critique Manga Tokyo Ghoul #3
7
Tokyo Ghoul
par Suiginto le jeu. 26 févr. 2015 Staff
Toka est déterminée à faire ce qu'il faudra suite au drame ayant touché Hinami. Ken est moins enclin qu'elle à accomplir cette vengeance, toutefois leurs actions et les conséquences de celles-ci vont aboutir à de nouveaux affrontements mortels entre les inspecteurs et leurs proies...
On apprécie le dynamisme de l'intrigue qui enchaîne les évènements, tandis que la narration s'enrichit de différents points de vue successifs, dressant ainsi un tableau effrayant et confondant de la situation de l'humanité, menacée par des carnages meurtriers et imprévisibles, et de celle des goules, condamnées à la discrétion pour pouvoir vivre à l'air libre, sans avoir aucun droit d'exister en ce monde.
Hybride malgré lui, Ken est perdu entre ces deux univers, et semble être le seul à voir les souffrances que ces deux communautés partagent, de la perte d'un être cher à cette sensation constante d'insécurité en ce qui concerne le lendemain.
Les graphismes sombres et stylisés du mangaka soulignent avec brio l'horreur et la violence de certains passages assez gores, même si la mise en scène mériterait parfois plus de fluidité. Par ailleurs, le chara-design un peu fluctuant d'une case à l'autre n'enlève rien à la force des émotions qui se dégagent des expressions de personnages plutôt attachants.
Avec un rebondissement particulier concernant un protagoniste charismatique, Sui Ishida paraît prêt à prendre des directions pas forcément attendues dans le scénario, voilà qui attise notre curiosité jusqu'au prochain opus!
On apprécie le dynamisme de l'intrigue qui enchaîne les évènements, tandis que la narration s'enrichit de différents points de vue successifs, dressant ainsi un tableau effrayant et confondant de la situation de l'humanité, menacée par des carnages meurtriers et imprévisibles, et de celle des goules, condamnées à la discrétion pour pouvoir vivre à l'air libre, sans avoir aucun droit d'exister en ce monde.
Hybride malgré lui, Ken est perdu entre ces deux univers, et semble être le seul à voir les souffrances que ces deux communautés partagent, de la perte d'un être cher à cette sensation constante d'insécurité en ce qui concerne le lendemain.
Les graphismes sombres et stylisés du mangaka soulignent avec brio l'horreur et la violence de certains passages assez gores, même si la mise en scène mériterait parfois plus de fluidité. Par ailleurs, le chara-design un peu fluctuant d'une case à l'autre n'enlève rien à la force des émotions qui se dégagent des expressions de personnages plutôt attachants.
Avec un rebondissement particulier concernant un protagoniste charismatique, Sui Ishida paraît prêt à prendre des directions pas forcément attendues dans le scénario, voilà qui attise notre curiosité jusqu'au prochain opus!
En bref
7
Tokyo Ghoul
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