Critique Manhwa Dangoo #8

Suite à la mort de Gogh, Sakai souhaite prendre le pouvoir et envisage donc d’assassiner sa nièce Boccala. Mais Yaki, Yatila et Horakan n’entendent pas le laisser faire…

Sakai et ses hommes souhaitent donc reprendre en mains les biens de Gogh. Alors qu’une partie d’entre eux s’en prend à Yatila, Sakai, accompagné notamment de Yok, un guerrier de Manout ayant trahi les siens, se dresse devant Yaki et Horakan qui ont pour mission de protéger la jeune fille. Mais en sous-nombre, Horakan, malgré son statut de Manshin, va éprouver les pires difficultés pour s’en sortir…

Avant-dernier volume de la série, ce 8ème tome de Dangoo est une nouvelle fois bourré d’action. Avec un dessin très agréable et dynamique, les scènes de combat du titre sont toujours aussi réussies et offrent de très agréables moments. Une fois la partie Gogh/Boccala conclu, le dernier arc de la série est lancé avec la réapparition, un peu sortie de nulle part certes, d’un personnage connu… Mais outre l’histoire, ce qui marque le plus dans ce tome est la « qualité » d’édition proposée par Samji. En effet, un gros problème d’impression semble s’être produit avec certains tramages pixélisés à l’extrême. Un gros point noir auquel on doit ajouter une bonne dizaine voire plus de fautes d’orthographe et/ou de tournure de phrases pour le moins troublantes… Alors que Samji semblait progressivement s’améliorer de ce côté-là, ce 8ème tome de Dangoo marque une régression importante, que l’on espère néanmoins temporaire…

Loin d’être un mauvais tome, cet avant-dernier volume de Dangoo souffre d’une qualité d’édition nuisant grandement à la lecture. Le titre vaut toujours le coup mais le lecteur devra parfois s’accrocher pour comprendre certains dialogues… Vraiment dommage…