Critique Manga Rosario + Vampire

Dans ce manga, nous suivons Tsukuné, un jeune lycéen qui s’est retrouvé par hasard dans le lycée Yokai, un établissement scolaire réservé uniquement au monstre et où les humains sont interdits. 2lève moyen et sans caractéristique physique particulière Tsukuné cherche à fuir cet enfer quand il rencontre Moka Akashiya, la plus belle fille de l’école et qui s’avère être une vampire. Cette dernière celle ses pouvoirs grâce à un rosaire qu’elle porte au cou. Ils vont intégrés le club de journalisme où ils seront rejoint pas d’autres amies assez rapidement. Et c’est dans ce cadre que se déroule l’aventure puisqu’il arrive plein de truc à Tsukuné et amis. Et quand le danger survient Tsukuné peut retirer le rosaire de moka pour déchainer toute sa puissance, car il est le seul à pouvoir l’enlever.
Et forcément, un jour il affronte un adversaire trop fort et Tsukuné en prend plein la tronche et moka doit lui transfusé son sang de vampire afin de le garder en vie. Et accessoirement cela confère à Tsukuné la puissance de moka. L’ennui c’est que cela se répète trop fréquemment se qui a pour conséquence de transformé notre héros en goule et casse la gueule a tout se qui bouge. Heureusement il est sauvé in extremis. Par la suite il pourra casser la gueule des méchants sans trop en pâtir.

Les personnages :

Tsukuné : C’est l’humain de base, comme je l’ai dit plus haut il n’a rien de particulier physiquement et ce n’est pas un surdoué non plus. Ça seul force au début c’est sa tolérance. En effet il se fiche que ses amies soient des monstres, ce n’est pas pour ça qu’il apprécie ou les détestes. L’évolution de ce personnage est… classique dirais-je. En effet, on passe de l’humain de base sans force, la grosse victime à Mec over puissant qui défonce tout. De plus au début du manga c’est une vraie trouillarde qui a peur d’absolument tout ou presque. Mais grâce à son acclimatation ses peur régresse petit à petit pour disparaitre totalement
Il met un point d’honneur a aider ses amies et à réaliser son rêve (enfin c’est le proviseur qui a réussi à le rallier à sa cause). Bref son rêve est la cohabitation monstre et humain. Le seul truc qui m’agace c’est que Tsukuné est un peu niais ou idéaliste. Se qui fait que niveau discours les antagoniste adore lui en mettre plein la gueule.
En gros Tsukuné est un gentil garçon, un peu niais qui devient plus puissant au fur et à mesure de l’intrigue afin de protégé ses amies et de réaliser son idéal.

Moka Akashiya : elle a une double personnalité. Celle qu’on voit tous les jours et qui a les cheveux roses. Donc elle est un peu niaise, ils font la paire avec Tsukuné. Elle en pince pour le héros, c’est plus belle fille du lycée et la plus puissante au passage et elle prend Tsukuné pour son déjeuner assez régulièrement, se qui donne un comique de répétition à chaque fois.
Ensuite on a le moka vampire, comme le dise les perso du manga. Il s’agit de la réelle personnalité de moka enfermé dans son rosaire. Elle est tout le contraire de la moka gentille, elle hésite pas à mettre des gros coup de tatane dans la gueule de ses amies pour les remettre dans le droit chemin et de poutrer ses ennemis de la même manière. Je trouve sa manière de combattre assez classe.
En plus, autant la moka gentille est niaise au possible, autant sa vraie personnalité en impose et dis à Tsukuné et autre la réalité, notamment sur l’ambiguité de la relation Tsukuné et les autre filles du club de journalisme.
En résumé, nous avons un moka gentille toute rose toute mignonne, créer pour s’intégrer à la société humaine et de l’autre qui dit cash se qui doit être dit sans tourner autour du pot et qui défonce tout, se qui en fait un de mes perso préféré dans ce manga.

Les filles du club de journalisme :

On a le droit à toute la gamme de fille possible et imaginable :

Kurumu : la succube aux gros seins et au qi digne d’une huitre, elle peut entre dans les rêves se qui est vachement intéressant pour m’intrigue et pour les combats ses ongles s’allonge, se qui n’est pas sans me rappeler Lust dans FMA et elle maitrise les illusions

Yukari : la jeune surdoué, sorcière de son état. Du coup elle apporte le coté analyse et connaissance du monde de Rosario + vampire. Sa magie et rigolote puisque grace à sa baguette et peut faire pleuvoir des bassines, se qui est l’objet, là aussi de gag à répétition. Elle peut également utiliser les poupées vaudou, même si à titre anecdotique et surtout sa principale arme d’attaque ce sont les carte de tarot en métal qu’elle dirige grace à la magie, elle maitrise également l’art des invocations. Le seul truc dérangeant c’est le fait qu’elle 12 ans et qu’elle est des préférence sexuelles déjà très prononcer. En effet elle veut se faire les deux personnage principaux : moka et tsukuné. se qui donne un aspect malsain aux personnages.

Mizoré : la femme des neiges, qui est une stalker, les personnages la définissent ainsi. Je trouve Que ses pouvoirs sont assez intéressant et bien représenté, elle se bat souvent en duo avec Kurumu. C’est personnage assez solitaire et qui malgré le fait qu’elle soit accepté met toujours une distance physique (elle se cache et apparait souvent arrière fond des cases) mais aussi psychologique. En effet elle ne parle pas beaucoup et est très réservé, enfin sauf quand il s’agit de Tsukuné.

Rubi : c’est une sorcière elle aussi et qui a une manière très classe de se battre et qui en fait mon numéro 2 des perso que j’aime bien niveau baston. En effet elle peut faire apparaitre des ailes de corbeau et s’en sert pour attaquer ses adversaires car ses plumes sont tranchantes. Elle peut également créer des petit familiers oiseaux, corbeaux également et les faire explosé. D’ailleurs c’est celle qui se bat, avec yukari, d’une façon inteligente, j’explique. En comparaison les autres personnages se contente de foncer dans le tas sans réfléchir alors que les deux sorcières attaque en soit exploitant de façon logique les faiblesses de la technique de l’adversaires ou en montant des stratagèmes qui se base sur la chimie.

Et Kokoa : elle apparait dans la saison 2. C’est la petite sœur, qui fait un gros complexe d’infériorité face à sa sœur, la moka vampire. Elle est carrément pénible puisqu’elle suit moka partout pour l’affronter alors même qu’elle sait que sa sœur est scellée. Elle se bat avec Kochan, une petite chauve souris qui peut se transformé en n’importe qu’elle arme. Ce qui en fait un peut le personnage mascotte qui jusque dans la saison 1 était tenu par Yukari.

Voilà en gros les personnages principaux et secondaire important de l’histoire selon moi, car en effet Ginei Morioka ne peut pas être considéré comme important car on le vois pas très souvent.

Passons maintenant aux dessins :
La première chose à remarque c’est l’évolution du dessin de l’auteur. En effet on passe d’un trait rond au niveau des personnages à un trait plus mature et mieux maitriser. c’est très agréable à regarder au niveau des perso. La seconde chose que j’adore ce sont les décors : il y a tellement de détail que tu ne sais même plus ou regarder tellement il y en a mais c’est tout de même très cohérent. On sent que l’auteur a passé du temps sur sa planche et qu’il a du mérite. Moi parce exemple je ne saurai pas faire ça et je trouve que dessiner les décors est quelque chose de très difficile. Et enfin la dernière chose qui me fait adorer ce manga ce sont les combats, ils sont classes, détailler, clair, et en plus vu qu’ils sont super bien intégré dans les décors ça en jette encore plus.
Bref ce manga, visuellement, est trop bien, en plus les couvertures de la saison 2 sont trop stylé, je les préfère à celle de la saison 1. S’il y a des défauts… ben je ne les ai pas trouvés. Si vous en avez relevé n’hésitez pas à me les signaler.

Les points forts du manga :
-les combats : ils sont classe et bien fait. Même si on se doute bien que se sont les héros qui vont l’emporter on ne pas s’empêcher de les appréciés. Les styles de combat des personnages sont tous différent même avec rubi et yukari qui sont toutes les deux sorcières. Du coup ça rejoint se que je disais sur la description des personnages et leur façon de combattre.
-la mise en avant des perso secondaire : un truc que je trouve sympa c’est que chacun des perso secondaire à le droit à son petit combat perso, c’est un peu visible dans la saison 1 avec kurumu et le la limace perverse mais c’est surtout visible dans la saison 2, en particulier dans la bataille finale. En effet chacun à le droit à son petit moment de gloire. Mention spéciale à ginei et Haiji qui ont démembré une section de fairy tale à eux tous seul
-Les méchants : les antagonistes sont juste extra dans leur construction. On a le méchant construit comme Tsukuné mais qui est parti en cacahuète. On a le classique psychopate. Et ma préféré c’est la mère de la famille shuzen complètement barré. Et pour terminer celui qui apprait comme un méchant discret mais qui est en réalité le boss final et où t’apprend qu’en fait c’est lui qui est derrière une famille entière de la mafia chinoise et d’autre truc que je ne vais pas raconter car je veux vraiment que vous lisiez ce manga pour connaitre tous les détails. On voit également qu’ils sont extrêmement bien organisés. En effet ils sont regroupé sous une seul banière, réparti e en différentes section qui sévissent à l’échelle mondiale. En gros c’est david contre goliath.
-Les relations et le passer des personnages : je trouve aussi que c’est très bien foutu. la sous intrigue du passer de moka et pourquoi elle a un rosaire et l’importance de ce dernier dans l’intrigue principale. L’histoire de moka est réellement tragique aussi bien pour sa réelle personnalité que pour sa pseudo personnalité. D’ailleurs la fin du manga laisse une note de tristesse concernant moka. L’histoire de Mizoré est bien aussi mais ce n’est qu’à titre annecdotique, servant simplement à approfondir l’univers et à déclenché la furie des filles. On voit également qu’on est dans un nekketsu somme toute classique puisqu’on retrouve les liens forts de l’amitié, le dépassement de soi et j’en passe.

Les points faibles :
Eeeeuuuh, je dois avouer que c’est un peu la même chose que pour les dessins, je n’ai pas vraiment trouvé de point faible qui nuit au manga papier. A part les motivations des deux parties qui sont un peu cliché. En effet, nous avons tsukuné et compagnie qui défendent l’amour et l’amitié entre les peuples, la tolérance etc, qui est d’ailleurs très représenter au sein de leur groupe je trouve, notamment quand on connait l’explication sur les sorcières et la discrimination dont elles font l’objet. D’ailleurs, les monstres sont considéré comme des abruti n’ayant pas deux sous de jugeote et qu’en réalité les sorcières peuvent être classer au dessus d’eux car elles ont l’intelligence en plus. Et on peut avoir le même raisonnement pour les humains car par rapport à eux elles ont les pouvoir en plus. Donc en gros les monstres sont des pures abrutis et on est dans un lycée de basiaux !!!!
Passons ! et de l’autre coté disais-je il y a les méchants qui veulent détruire le monde des humains. C’est simple mais malgré tout efficace, donc je ne sais pas si on peut vraiment dire que c’est un point faible.
Ensuite il y a les gags à répétition, le coup de la bassine de yukari par exemple ou encore le fait que ce pauvre Tsukuné est toujours en train de mourir asphyxié entre les seins de Kurumu. Ou alors les petites scénette de combat de fille qui s’en suivent pour savoir avec qui tsukuné va sortir. On voir un coté soulant puisque c’est quelque chose d’assez récurent dans le manga mais cela nous permet de pas oublier une des sous intrigue du manga : laquelle va finir avec Tsukuné. et rappel au dit personnage qu’il va bientôt devoir se décider car la polygamie est interdit dans le monde des humains.
Par contre quelque chose qui m’a vraiment mise à l’aise c’est quand les perso sont dans ce délire là, tu as Yukari qui intervient et prend par à la discussion, si on peut nommer cela ainsi. Comme je l’ai dit plus tot, elle rêve de se faire Tsukuné et moka, mais elle a 12 ans. 12 ans les mecs !!!! je sais bien que le sexe arrive de plus en tot dans la vie des gamins mais là c’est peut être un peu trop. Heureusement, la situation est rapidement désamorcé car il y a toujours Kurumu qui la vanne sur la taille de sa poitrine qui est, il faut le dire, pratiquement inexistante. Mais quand même, ça m’a fait tiquer.

Je crois que j’ai tous dis sur le manga papier qui est juste trop cool et encore je crois que j’en ai oublié.