Critique Manga Mon Vieux
7
Mon Vieux
par yeong le jeu. 30 août 2012 Staff
Avis personnel :
Aspect : Un format (18*13), des couvertures mettant en valeur uniquement le héros. ll y a un résumé au dos. Le manga fait dans les 200 pages en moyenne par tome . A la fin, il y a la une postface (aprfois) de l'auteur et ensuite viennent les pages du catalogue Akata.
Dessin : Le dessin de l'auteur est à l'instar du manga, très brut, très spontané, pas de finesse dans les traits. J'avoue que ce n'est pas le genre de gekiga que je préfère.
Cependant, l'auteur transmet énormément d'émotions à travers les regards principalement. L'auteur pousse aussi au maximum l'aspect effrayant de son personnage (dessins en contre plongée, regards froids voire haineux, ombrage accentué etc...)
Scénario : Nous suivons donc un vieux dur qui après 16 ans d'absence revient chez lui et il va tout faire pour recréer une famille avec les siens.
Malgré l'aspect effrayant du père, l'auteur tente d'attendrir le lecteur sur son personnage principal et il arrive en jouant sur les évènements qui se passent dans le présent tout en mélangeant cela avec des flash-back bien placés.
Malgré cet aspect "réaliste" mettant un scène des rapports humains, simples mais authentiques, l'auteur introduit un peu d'humour (le chapitre du onsen).
L'atout ce héros est sans doute sa tendresse principale : sa dévotion sans faille pour sa famille.
La fin est cohérente au personnage, dotée de nombreux messages simples mais forts.
Conclusion : En bref, ce gekiga est ne série courte, attendrissante, qui rappelle sans exagération que l'habit ne fait décidément pas le moine.
C'est aussi est un véritable hommage aux pères durs aux c?urs tendres, une ode à la famille et aux valeurs inhérentes.
Aspect : Un format (18*13), des couvertures mettant en valeur uniquement le héros. ll y a un résumé au dos. Le manga fait dans les 200 pages en moyenne par tome . A la fin, il y a la une postface (aprfois) de l'auteur et ensuite viennent les pages du catalogue Akata.
Dessin : Le dessin de l'auteur est à l'instar du manga, très brut, très spontané, pas de finesse dans les traits. J'avoue que ce n'est pas le genre de gekiga que je préfère.
Cependant, l'auteur transmet énormément d'émotions à travers les regards principalement. L'auteur pousse aussi au maximum l'aspect effrayant de son personnage (dessins en contre plongée, regards froids voire haineux, ombrage accentué etc...)
Scénario : Nous suivons donc un vieux dur qui après 16 ans d'absence revient chez lui et il va tout faire pour recréer une famille avec les siens.
Malgré l'aspect effrayant du père, l'auteur tente d'attendrir le lecteur sur son personnage principal et il arrive en jouant sur les évènements qui se passent dans le présent tout en mélangeant cela avec des flash-back bien placés.
Malgré cet aspect "réaliste" mettant un scène des rapports humains, simples mais authentiques, l'auteur introduit un peu d'humour (le chapitre du onsen).
L'atout ce héros est sans doute sa tendresse principale : sa dévotion sans faille pour sa famille.
La fin est cohérente au personnage, dotée de nombreux messages simples mais forts.
Conclusion : En bref, ce gekiga est ne série courte, attendrissante, qui rappelle sans exagération que l'habit ne fait décidément pas le moine.
C'est aussi est un véritable hommage aux pères durs aux c?urs tendres, une ode à la famille et aux valeurs inhérentes.
En bref
7
Mon Vieux
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