Critique Manga Arifureta - De zéro à héros #9

On continue dans le même sens

Les premiers tomes d'Arifureta étaient vraiment passionnants. J'ai encore en tête Hajime et son périple afin de se sortir de sous la terre. Il a d'ailleurs eu ses fabuleux pouvoirs lors de cette aventure hors de son monde. Et même, on peut le dire, une petite amie vampirique. Yue ressemble à une enfant par contre, pourtant, elle fait bien plus que son âge apparent, ce qui pourrait expliquer ses immenses pouvoirs.

Au départ, on ferme l'épisode du désert en résolvant les différents problèmes de ses habitants. Justement, la magie de la petite bande va pouvoir créer toute une oasis. De plus, il sera tellement énorme qu'il pourra y avoir tout un réseau d'eau potable, même pour des milliers d'habitants. Il ne reste plus qu'à s'atteler à la mise en place de cette tuyauterie.

D'ailleurs, un « tuyau » leur sera donné pour leurs prochaines sorties souterraines. On n'oublie pas les différentes quêtes à effectuer afin d'obtenir encore une plus grande source de pouvoirs, et, vaincre par la suite le fameux boss final de ce monde.

On remarque une partie d'exploration déjà répétitive, mais, en plus, les auteurs vont avoir le mauvais goût de faire une pause vraiment salace. Effectivement, on remarque que la route est parsemée de lave. La température est alors logiquement assez élevée. L'homme, accompagné de ses nombreuses prétendantes, va alors avoir le droit de voir les différentes poitrines des demoiselles qui le montrent même de manière voulue. Le mauvais côté du fan service est de retour afin de masquer une baisse de régime de la série. Encore une fois, c'est vraiment dommage.

Il est temps pour Arifureta de sortir une autre artillerie lourde afin de faire plaisir à ses lecteurs. Les batailles ont commencé à la toute fin, pourtant, on sent déjà la fin de celle-ci. Du coup, on se demande ce que RoGa a bien encore à nous offrir ? Il est peut-être temps de passer à quelque chose de différent, non ? Les prises de risque sont, certes, dangereuses, par contre, parfois, elles peuvent être véritablement payantes.